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Sous les Fraises

La start-up pionnière de l'agriculture urbaine en Europe

Et si votre réfrigérateur avait autant le sens de la fraîcheur que Sous les Fraises?

Sous les Fraises, la start-up pionnière de l'agriculture urbaine en Europe, crée des fermes urbaines intelligentes, perchées sur les toits, pour rendre nos villes plus vertes et plus autonomes. Elle y fait pousser des fraises, mais aussi des framboises, du cassis, des mûres, des baies de goji, des tomates, de la sauge, des fleurs comestibles grâce à des structures végétales verticales. Elle vend également ses produits transformés et développe des systèmes de filtration des eaux grises. Un modèle à partager !

À la rencontre de Marie de Sous les Fraises

Marie, tu nous as emmené sur un toit. Comment est venue cette idée de faire pousser des plantes sur les toits parisiens ?

L'idée est de réintroduire de la nature en ville, sous toutes ses formes, et trouver des espaces où on peut ramener du vert de façon conséquente, à la fois pour les humains, mais aussi pour les oiseaux et les insectes. Les toits étant souvent sous utilisés, on a eu l'idée de les végétaliser et d'y ramener de la vie. Ici, on cultive 22 000 plantes, 1 500 mètres carrés sont cultivés, dont à peu près 1 000 pieds de tomates, soit une récolte de 5 à 7 tonnes par an de tomates juste pour ce lieu.

 

Comment est née l’envie de mettre du vert là où il y a du gris ? 

Au départ, c'est un projet citoyen. Quand on est urbain, on est content de profiter des interactions de la ville, mais nous avons aussi besoin de la nature. Nous avons travaillé avec des publics différents pour comprendre comment les habitants pouvaient se réapproprier le végétal. Et puis on a testé plein de choses pour affiner notre technique parce que ce n'est pas si simple de s'installer sur des bâtiments, des toits asphaltés, battus par le vent, le soleil, et d'en faire un petit paradis super fertile en quelques mois.

 

Comment arrive-t-on à cultiver sur les toits ?

Nous avons inventé une technique, la permaculture verticale, née d'un assemblage de compétences ! Je suis ingénieure en paysage(s), Yohan est biologiste et Laure-Line architecte pour intégrer tout ça au bâtiment, sans être trop lourd, que ça ne s'envole pas et que les plantes soient cultivées dans un milieu adapté pour grandir en bonne santé. Dans l’équipe, nous retrouvons aussi des maraîchers bien sûr, un ingénieur en électronique pour l'automatisation de l'irrigation des cultures, un urbaniste pour l'insertion des projets dans leur contexte urbain, et des animateurs pour accueillir le public dans nos jardins !

Les plantes poussent sur des membranes faites de laine de mouton et de chanvre tissés ensemble. On y greffe des petits pots, où on met la terre. Les racines vont d'abord se développer de façon assez naturelle dans la terre, et vont ensuite coloniser et tisser leur réseau de racines à travers les membranes.

Vu que c'est organique, qu'on amène de l’eau (en circuit fermé), la vie reprend, des petites mousses s’installent, protègent le support et abritent des insectes. Notre travail, c'est de recréer des écosystèmes. Au départ, il y a la technique, mais ensuite, c’est la nature qui prend le relais comme elle sait faire depuis des millions d'années. 

Pourquoi faire pousser des plantes à la verticale ?

On a deux fois et demie plus de surface quand on fait pousser à la verticale. Cela crée aussi des espaces designs intéressants, mais c’est d’abord pour avoir plus de rendement donc plus d'impact. C'est aussi plus confortable pour nos maraîchers de récolter à hauteur d'homme !

 

Qu’est-ce que la permaculture ?

La permaculture verticale a pour principe d'imiter la nature, en faisant le moins d’effort et en étant énergiquement le plus sobre possible. Ça s'applique vraiment à toutes les étapes du projet, à la conception, à la façon dont on va nourrir nos plantes, les associer, les entretenir. On respecte les saisons, on ne couvre pas l'hiver, on n'utilise aucun produit chimique, on collecte au maximum les eaux pluviales. On essaie de créer un écosystème en favorisant les interactions avec d'autres espèces : une mésange va venir manger des chenilles au printemps ou un merle qui va récupérer des vers. C’est un équilibre dynamique qui invite aussi le reste de l'écosystème. Ça ne se limite pas aux frontières des toits, ça interagit avec plein d'autres espèces.

 

“On est assez fiers de conjuguer à la fois efficacité économique, écologique et rendement,
mais aussi de recréer des écosystèmes, amener de la biodiversité, des abris,
à manger, à boire pour plein d'espèces, et de rafraîchir le climat.”

 

Ça peut aussi avoir un impact sur le climat ?

Végétaliser la ville, ce n'est pas juste pour faire joli ou pour avoir le maximum de kilos de tomates. C'est pour accueillir la biodiversité, mais aussi agir sur le climat. En ville, on a un problème qui s'appelle l'effet d'îlots de chaleur urbains. Avec le fait que les villes et notamment les toits soient asphaltés et très minéraux, la chaleur se concentre et en période caniculaire, cela prend des proportions beaucoup plus fortes.

Les plantes, par l'évapotranspiration de leurs feuilles rejettent de l’eau et créent un microclimat qui permet une meilleure qualité d'air. On peut donc abaisser la température de la ville en la végétalisant.

Ça peut rendre aussi d’autres services, comme collecter les eaux pluviales quand on a des épisodes orageux. Plutôt que de traiter les eaux en dehors de la ville, on peut le faire à l'échelle du bâtiment, pour rester complètement local. La terre et les substrats vont collecter les eaux de pluie et les eaux grises de bâtiments, qui sont filtrées par les plantes. On peut aussi utiliser les déchets organiques des restaurants, des cantines, les composter sur place et les réinjecter en engrais. Il y a des plantes qui peuvent dépolluer, l’impact écologique compte beaucoup dans notre projet.

 

Ça a aussi un impact sur notre alimentation ?

Parfois ça nécessite d'être cuisiné, mais ici tout se mange. Nous cultivons des fruits, légumes et aromates. L’avantage c'est de travailler en proximité avec les acheteurs et pouvoir cultiver un produit sur-mesure. Par exemple, on ne peut pas faire d'agrumes à Paris sans serre donc on a trouvé cette plante, la tagète mandarine, qui permet d'avoir un goût d’agrume, c'est typiquement le genre de plantes que l'on cueille pour les chefs entre 5 heures et demie et 7 heures et demie du matin. Pas de transport, ni de problème de stockage qui pourraient impacter le goût.

On a une partie de nos plantes qui est cueillie pour les restaurants et une partie qui est transformée pour notre gamme d’épicerie fine : des bonbons et des nougats au miel des ruchers, des infusions, des tartinables, des biscuits et des bières. Quelques minutes seulement après la récolte, les produits frais rejoignent l’atelier, la distillerie ou la micro-brasserie du quartier.

 

“Certains produits à haute valeur ajoutée doivent être cueillis très frais,
il y a un vrai intérêt à les cultiver en ville.“

 

Les fleurs et certains fruits rouges peuvent souffrir du transport et du froid trop agressif qui peut casser vraiment le goût. La qualité de nos produits frais nous permet de fournir des tables étoilées. Nous cultivons par exemple des tomates qui sont presque molles, ça deviendrait du ketchup dans les circuits logistiques traditionnels. 

En conclusion, l'agriculture urbaine est un outil hyper puissant qui peut résoudre plein de problèmes de la ville, qu'on imaginait peut-être déconnectés, et avoir un vrai impact positif sur notre alimentation.

Retrouvez l’interview intégrale de Marie sur le podcast Hideas

 
 

Et si votre réfrigérateur était rempli d’idées fraîches ?

 

Nous avons créé les Fresher Techs®, des technologies intelligentes, pour prendre soin de chaque partie de votre réfrigérateur et conserver la fraîcheur et la saveur des produits frais.

Les réfrigérateurs de la Série Cube sont équipés du compartiment Humidity Zone. Composé d'une membrane en fibre végétale, ce tiroir garantit un taux d'humidité à 90% pour une conservation idéale des fruits et légumes et préserver leurs qualités nutritionnelles deux fois plus longtemps.

Grâce à la Switch Zone ultra-flexible, les réfrigérateurs de la série Cube ont un compartiment pouvant fonctionner aussi bien comme réfrigérateur que comme congélateur. Modifiez facilement la température de -18 °C à +5 °C puis revenez à la température de départ quand vous le souhaitez. Vous aurez ainsi un réfrigérateur ou un congélateur supplémentaire pour profiter de vos saveurs préférées toute l’année.

Et si l’embeillage devenait la norme ?

On sait tous que le plastique c’est pas fantastique, Quentin a choisi d’éliminer le film plastique de nos cuisines. Il a découvert une solution naturelle en Australie, les « Bee Wraps* ». Fabriqué à partir d’ingrédients 100% naturels et biologiques, son produit est réutilisable et compostable, favorisant le zéro déchet.
*Emballage à base de cire d’abeille.

Et si vos vêtements sauvaient les océans ?

Pour lutter contre la pollution plastique des océans, Romain et Lola ont pris les choses en main. Ils ont imaginé un procédé incroyable pour fabriquer des vêtements à partir de plastique marin recyclé et de coton biologique. L’intégralité de leur processus de fabrication a été conçu de manière durable et écologique.

Et si une app révélait tous les secrets du vin ?

Lorsque vous buvez un verre de vin, vous pouvez connaître son cépage, sa provenance, son année, mais qu’en est-il de sa composition ? Taux de sulfite, additifs, levures, calories... Dans ma bouteille vous livre avec transparence tous les secrets de vos vins préférés.

Et si les courses se faisaient toutes seules ?

Imaginez qu’une app fasse les courses à votre place : vous lui indiquez votre régime alimentaire et quelques informations personnelles et JOW s’occupe de tout. JOW recommande un menu qui vous ressemble et les ingrédients nécessaires à la réalisation de recettes. Inspirations, services, cette app a plus d’un tour dans son sac.

Et si votre lave-linge et Zëro voulaient du bien à notre peau et à la planète ?

Et s’il existait une solution vraiment propre pour laver son linge ? Zëro, c’est une lessive naturelle, artisanale et zéro déchet. Elle a l’avantage d’être très simple et rapide à réaliser, de contenir très peu d’ingrédients, d’être personnalisable et peu coûteuse.

Et si avec les caves et l’aérateur de vin Aveine, l’expérience de dégustation était toujours réussie ?

La start-up Aveine a pour ambition de simplifier l’accès à la dégustation du vin en créant des objets et services dédiés. La start-up crée le premier aérateur de vin intelligent capable d’adapter la durée d’aération idéale de chaque vin.